Les objectifs de développement durable (ODD), définis dans le programme transversal et inclusif de développement durable des Nations Unies, sont 17 priorités à atteindre d’ici à 2030. Tous les acteurs du monde entier, privés et publics, sont appelés à suivre cette feuille de route universelle et l’adapter via des indicateurs de suivi nationaux.

Pour les acteurs économiques, ces ODD constituent une opportunité de transformation et d’innovation. A l’instar des entreprises du SBF120, la mise en œuvre de ces 17 objectifs est souvent mise en parallèle avec les actions de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), comme le révèle l’étude « Comment les entreprises du SBF120 s’approprient les ODD ? », menée par B&L évolution, cabinet de conseil en RSE et développement durable.

« L’analyse des documents de référence et des rapports de développement durable des entreprises du SBF120 nous a permis de voir que la majorité d’entre elles ont connaissance des ODD et qu’elles se mobilisent plus en 2018 pour ces enjeux mondiaux, ce qui est une bonne nouvelle ! », se félicite Sylvain Boucherand, PDG de B&L évolution et co-auteur de l’étude.

Le rapport montre que, pour la première fois depuis l’adoption du programme en 2015 par l’ONU, tous les secteurs en France comptent au moins une entreprise du SBF 120 mobilisée. Si la majorité des secteurs évolue positivement, seuls trois (sur neuf) croient rapidement par rapport à l’an dernier, dû à une réelle prise de conscience de l’utilité des ODD : « Banques et Services financiers », « Commerce » et « Énergie, Eau et Matières Premières ».

Un focus sur les entreprises du CAC40 a permis de repérer des pratiques exemplaires d’appropriation des ODD, comme par exemple Carrefour qui s’est engagé à travers de nombreux projets tel que son Plan anti-gaspi pour réduire de moitié les déchets alimentaires au niveau de la distribution, ou Engie qui lutte contre la précarité énergétique (ODD 1) en soutenant des projets d’accès à l’énergie à travers le programme Énergie Solidaire de sa Fondation. Si la majorité des entreprises identifient les ODD, très peu abordent les cibles et leurs indicateurs nationaux. Qui sont donc les bons élèves ?

L’étude propose une mise en exergue des outils de contribution aux ODD ainsi que des exemples de bonnes pratiques d’entreprises qui évaluent leur engagement avec leurs propres indicateurs.

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