Décryptage : de la vente des espaces digitaux au visionnage des publicités, nos recommandations pour calculer l’impact carbone des campagnes digitales.
La publicité numérique s’est imposée comme le support star des annonceurs. Moins chère, plus flexible, mieux ciblée… sa dématérialisation offre même cette douce illusion qu’elle n’a pas d’impact sur l’environnement. Mais nous savons désormais que cette affirmation est fausse.
Le numérique représente 3,7% du total des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
Cette empreinte déjà importante tend à augmenter avec une hausse globale des usages numériques dont celle de la publicité digitale.
Les acteurs de la filière communication ont récemment été interpellés sur l’impact de la publicité sur le climat dans le cadre des débats sur la récente loi Climat et Résilience. Ces derniers ont pointé du doigt le double impact de la publicité : un direct lié à la production de supports mais aussi un impact indirect lié aux comportements induits par la promotion de produits et modes de vies peu compatibles avec une société bas carbone.
Comment agir ?
Alors comment le monde des annonceurs peut-il concrètement mesurer l’impact de son activité sur le climat ? Quels éléments de la diffusion de ces publicités peut-on modifier ? Comment modéliser cet impact et l’allouer à la diffusion de chaque publicité ? Quel périmètre est à considérer pour ces calculs ?
Alors que de nombreux acteurs du secteur réfléchissent à la manière de mesurer cet impact, nous proposons dans cet insight un éclairage des enjeux liés à cet exercice et une synthèse de nos recommandations en matière de mesure environnementale
Téléchargez notre étude : « Quel est l’impact de la publicité digitale sur le climat ? »
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